Mi-août dernier, Nico et Colin ont porté les couleurs du Club au Danemark pour réaliser l’Ironman de Copenhague!

Ils racontent chacun à leur tour comment ils ont vécu cette épreuve…. Merci à eux pour ce partage et bravo encore!

 

COLIN

Pour cette année j’ai choisi de faire l’Ironman de Copenhague, le 19 Aout. Parce que, entre autres raisons, il est plutôt plat. Mes objectifs fixés en début de saison se résume à (a) Nager ?    (b) Rouler fort (c) courir régulier.  

 

Camera zoom arrière …

 

Il faut dire qu’en septembre je partais de loin, aucune envie de nager car à chaque visite à la piscine je passe deux jours avec des éternuements et le nez qui coule à flot.  Aussi, j’étais devenue homme « crampe au mollet » à chaque entrainement natation je subissais des campes au mollet ce qui impacter lourdement toutes mes séances de course à pied !

 

En Aout je décide donc d’arrêter totalement de nager et trouver des solutions. Septembre visite médical a go-go. Prise de sang, allergologue, cardiologue, tous les docteur en ‘ogue. Hahaha !  Avec le coach on commence des exercices très spécifique sur pied  — pour rire voilà un lien Dance with Catherine

 

Camera zoom avant..

Il faut avant tout dire merci à Maude car je n’avais pas vraiment pris au sérieux la réservation AriBNB du coup … dernière minute. Merci Maude.

 

Je fais la course avec Nicolas et lui fait subir le régime que j’avais auparavant mis en place avec Docteur Dez. Un régime qui purge les Glucides, puis les reconstituent. IL faut dire Mardi et Mercredi avant je me sentais un peu faible.

Avant la course, état des lieux, du corps surtout

  • Cheville gauche douloureux … calcination et tendinite en cours de formation
  • Jambier intérieur gauche et droite sont douloureux.
  • J’ai une sensation de faiblesse au coude gauche, surtout quand sous tension
  • Douleur très fort sur le bord extérieur du pied gauche (milieu), qui apparaît progressivement en vélo. Et après traine en course a pied lors de l’appui.
  • Une douleur cibler sur le point d’insertion du grand fessier cote droite.

 

ET oui, que fait je la, c’est incroyable ce que le corps et la tête ont à se dire, et la manière que les deux s’expriment et se parle ensemble. Une forme de poésie et en totale harmonie…. ou pas J

 

Aussi, il faut le dire, depuis notre arriver a Copenhague, Mardi, je glande et cela fait vraiment du bien. Je n’ai pas l’habitude, du coup je jubile de ce repos forcer.

 

Samedi un peu de natation sur le parcours et repérage des repères, il y a des personnes qui nage partout, pas que des personnes qui font l’Ironman, juste des personnes qui aiment nager.  Ça fait plaisir à voir.

Dernier repas des guerriers, et dodo tôt. Réveil prévu a 4h30, mais bon, inutile de vous dire que pas vraiment besoin du réveil ! Porridge, Miel, Thé et deux tranches de Jambon. Puis départ à pied pour Amaegar beach.  On n’est pas loin, 15 minutes.  Nicolas part plus tard, car le rolling start pour lui est prévu à 7h40.

 

On sent bien l’ambiance à l’approche du parc à vélo, de plus en plus du monde et les nerfs qui s’éveille et qui picote et … A l’entrée du parc a vélo des visages familiers, Cyril VIENNOT. Il s’arrête et bavard un peu, c’est super gentil, cela calme un peu.

 

Allez, mon destrier est toujours a sa place, mais le parc a velo souffre de manque de hauteur et je constate que les vélos à gauche et à droite, sont comme moi grand et haut de celle.  Il n’y en a aucun qui tiens par la tige par la selle, lol ! Je vais chercher un arbitre et le responsable. Après un débat en Danois, ils changement les vélos pour les accrocher par le guidon, eh oui, on peut avec un guidon contre la montre.  Les vélos sont plus sur le chemin des athlètes, et on les identifie toute de suite. Mais l’arbitre a dit « OK ».  Nice – repérage 1 point.

 

Depuis 5h je sirote un bidon eau plus PH1500 de Précision Hydration.  Du coup, beaucoup de pipi.    Sur mon alimentation et compléments, je prends que du liquide plus banane.  Le liquide qui contient une concentrée de High 5 Energy Source plus gout citron et PH1500. Je pèse près de 100 Kg, donc un bidon contient 13.5 cuillères et l’autre bidon 9 cuillères pour un temps anticiper de 5h30. Chaque bidon avec 2 pastilles de PH1500. Le troisième bidon avec de l’eau qui sera changer sur chaque ravito.  Précision Hydration est dosé 3 fois plus que High 5 Zero en sel minéraux. 

 

Je drop un bidon d’eau dans mon sac T1 pour me rincer après le sorite natation. Et puis je me change et drop mon sac d’habilles pour après la course.

 

Le commentateur a commencé a parler et parle du vent, apparemment, comment d’habitude il y en aura et on vas le subir comme d’habitude sur le vélo.  Tiens Tim DON passe devant moi, mais me dis pas bonjour. Il ne me connait pas encore J   Le vent souffle déjà et il fait froid…

 

Je m’avance vers la zone d’échauffement natation, échauffement mécanique à sec, puis je mets le reste du combi HUUB et avance sur la plage dans l’eau jusqu’à ma taille.                  Je remplie ma gourde High 5 avec de l’eau de mer, regarde les autres en train de nager et sent la pression. Je décide d’aller à la zone de départ et m’abriter du vent. Tactique de course, je veux être dans les premiers à partir afin de profiter d’eau libre et de personnes de même niveau. Il y a beaucoup de personnes avec un bonnet rouge !! Les pro partent, l’exécutive club part, puis c’est à nous. Je suis dans la 6e rangé de 6.   Dernier check mental, … mon Coeur bat plein pot je me concentre et les derniers beeps du décompteur électronique semble très longues.

 

Le triangle jaune IronMan placé à 300m arrive très très vite et j’ai déjà doublé un peu du monde ! On tourne légèrement à droite, repérage, et je fonce pour le pont à 600m.

Bizarre, je n’ai pas fait beaucoup d’eau libre cette année …… ummm…un Kayak barre mon chemin et me montre ou sont, ou plutôt, ou est la course je suis vraiment a l’ouest… et presque à la plage ooops.   Je reprends, rattrape le groupe et après le pont pas de soucis, 600m, 1200m, bouet de demi-tour 1800m, 2100m, 2500m parfait. Puis de nouveau je fais quelques zig zag, …, puis demi-tour a 3300m, les derniers 300m sont toujours les meilleurs, on voit la sortie, on voit la foule, on entend le commentateur, et la tête se réjouit d’avoir fait une épreuve sur trois.

 

Sortie de l’eau et … oui .. pas de crampe c’est aussi un Super Grand Plus .. Combi enlever en quelques seconds je m’arrose avec l’eau prévu dans le bidon et mon cou m’avertit des brulures de la combi aie aie aie ca pique. Aussi je n’arrive pas à me baisser suffisamment pour mettre mes chaussettes…  Après un temps qui semble long, je suis en vélo et départ pour 180km. CouCou la famille, merci !  En passant le pont on voit tout le monde dans l’eau c’est toujours impressionnant, autant que la foule qui est présente.

 

Il y a des personnes qui roule vite, très vite, je suis à 35km/hr et je ressent de la frustration de les laisser partir.

 

La sortie de Copenhague en vélo est une vrai expérience pour le triathlète! Un chemin tortueux pour sortir du centre, après le passage devant T2, ensuite il faut passer sur quelques chemins tout à fait incroyables. Comme le passage piéton au-dessus du chemin de fer suivi d’une droite a 90 degrés…  Une fois à 20km, on est le long de la route côtière et ça roule, le vent viens de terre et de gauche.

 

Au 45e km on quitte la côte pour dévorer la terre Danoise, et la première Ravito’ ou je change mon bidon d’eau et prend une petite banane.  Par contre, maintenant on est contre le vent!

 

Il faut dire que le parcours est très ondulant, et un peu tortueux, mais très roulant, néanmoins il y a moins de supporters qu’a Jonkoping.

 

Au passage de 90km, je regarde Mr Garmin, j’ai dû regarder à plusieurs reprises car le temps de 2h30 est plus rapide que prévu, une bonne surprise et inattendu. Les jambes sont bien.

 

Au 100km pipi dans les toilettes prévu au Ravito, j’avais vu un athlète pénalisé par un arbitre…

 

Il y a plus de cyclistes qui me double, les jambes vont bien, le dos moins bien et cela m’empêche de rester trop longtemps dans les aerobars, ce deuxième tour sera plutôt assis.

 

 

On commence à prendre en compte les panneaux 100km 120km 140km … et le dernier parti du voyage et retour au centre de Copenhague est super cool.  Check deux épreuves sur trois.

 

La T2 est dans un parking, il y a du monde, beaucoup beaucoup de monde avant la rampe, ligne de descente et et et et …. Ah oui il faut courir !  Rapide changement, et on est de retour sur la rampe de sorti…et un marathon.

 

A ce stade, je n’y croyais pas, 5h17 de vélo !   Et la foule à la sortie on se sent comme un super star! 

 

Les KMs passes et je vise entre 5:40 and 6:05 par kilomètre. Oui, vous l’avez compris, cette discipline n’est pas la mienne et l’année ne m’a pas vraiment permis de le pratiquer régulièrement. Sur le retour de la boucle je passe le coureur de tête suivie du vélo, c’est Cyril Viennot ! Il m’encourage, il est bien devant et sur son dernier boucle … soit 3 d’avance.

 

Les kilomètres passent et on garde le rythme et accumulent les bandeaux à chaque tour. C’est dure, mon objectif est de courir, donc je cours.

 

Au 23e kilomètre, Børson, on effectue un demi-tour autour des barrières mis en place par l’organisateur. Un ´idiot’ essaye de me doubler en passant à l’intérieur du virage, malheureusement pas énormément de place, il me bouscule et son genou frappe violement mon genou gauche, je tombe sur ma cheville et le genou gauche lâche un cri de douleur. Je ne sais pas comment je n’ai ni tordu la cheville ni le genou…

 

Je repars mais la tête n’y est plus, je ne suis plus dans la course ni sur l’objectif. Le genou fait mal et je suis furieux… cela me prends quelques kilomètres avant de ressentir et réaliser que les douleurs sont nouvelles et accepter de marcher un peu…  Pas très loin de la Mermaid, Nicolas me double, il a l’air bien et tiens une très bonne allure. GO Nico..

Je finis le Marathon en 4h49, dégouté par ce résultat mais Happy d’avoir finis et de mon temps de 11h14.

 

La zone de finish est grande et offre votre sac d’affaires de ville, le t-shirt, des massages et un sandwhich et glace par finisheur ! 

Je prends quelques minutes pour juste me poser et laisser le corps reprendre sa place et faire un check avant de partir trouver la famille, Maud et Oliver et encourager Nicolas.

Une belle journée, une très belle ville et parcours, ravi d’être venu, vu et finis.

 

NICO

Suite à l’Ironman Italie, j’étais très heureux d’avoir fini mon premier ironman mais j’étais déçu d’avoir dû marcher pendant le marathon.

 

Ayant eu Oliver en Novembre, je me disais que mes nuits allaient être altérés et que pour 2018 j’allais passé une année tranquille. Quelques discussions et une assemblée générale plus tard me voilà convaincu d’en refaire un en 2018.

Colin me parle alors de Copenhague. Et très rapidement je suis inscrit avec pour seul objectif de ne pas marcher sur le marathon.

 

Je reprends l’entrainement en décembre avec comme règle simple, dès que j’ai un peu de temps je m’entraine. Je fais un hiver sérieux en course à pied et beaucoup de home trainer.

 

De décembre a Juin, j’arrive à m’entrainer environ 7h par semaine en étant très consistant.

A partir de Juin je commence à me sentir fatigué, l’impact des réveils nocturnes quotidiens m’ayant finalement rattrapé…

 

Nous voilà en aout, arrivé à Copenhague avec Colin.

Comme Colin, même si j’adore les 3 sports, ne pas avoir à s’entrainer fait du bien. Je suis le programme sportif de Colin (ainsi que son régime et le rasage des jambes J) sur cette dernière semaine. Heureusement que Colin était la sinon je serais resté à ne rien faire …. Bizarrement toute la semaine je ne ressens aucun stress par rapport à la course. Je ne sous-estime pas ce qui nous attend mais je ne stresse pas. 

 

Nous voilà le matin de la course, touj0urs autant fatigué avant même de commencer. Je pars dans la vague de 7h40 m’étant motivé à me mettre dans la vague supérieure a mon niveau. Pas le temps de m’échauffer dans le bassin prévu a cet effet. Je me dis que j’aurais le temps de m’échauffer dans les 3.8km…

Les premiers 600m me paraissent long. A chaque 600m on passe sous un pont ce qui est pratique pour s’orienter et se rendre compte de ce qui a été parcouru et motivant car des centaines de personnes sont sur les ponts pour encourager. J’arrive à dépasser plusieurs personnes ce qui me parait bizarre. Je m’oriente assez bien mais l’eau me parait de plus en plus froide à mesure que j’avance.

Arrivée à 3km, demi-tour entier (première fois que je vois ça en tri) je me dis que c’est fini et c’est ma première erreur car les 800m restants sont interminables. Le combat mental a bien commencé.

1h20 de nage après je sors, regarde ma montre et suis extrêmement heureux d’avoir fait le même temps que l’année précédente sachant que j’ai sacrifié la nage dans mon entrainement.

C’est parti pour 180km de vélo. Avec l’eau J’ai un peu froid surtout que les premiers 10kms sont venteux. Arrivée au km45 on rentre dans les terres et je me dis que le vent va finalement s’arrêté ce que j’attends depuis longtemps. Mais au final il y a plus de vent dans les terres que le long de la cote. Le parcours est très casse patte et je ne reconnais pas le profil roulant (et écrasé) du site web. Arrivée au km80 je suis sur un bon temps mais je commence à ressentir la fatigue et commence à me dire que les 100km restants vont être long. Je vois une grosse descente ce qui fait du bien au moral mais en face il y a un mur, une montée qui ne me ferait pas peur en temps normal mais qui la me parait bien longue. Heureusement il y a des centaines de personnes qui donnent l’effet du tour de France !

 

Le 2nd tour est alors difficile, je ralenti pas par désir mais par obligation… les derniers 10km sont interminables aussi… arrive en ville, la T2 est dans le parking. Cela fait 80km que je sens des crampes arrivées et que je suis obligé de me mouiller les jambes. Je crains la descente de vélo. Mais rien. Les jambes sont lourdes mais ok. 

Je me change et me voilà parti sur le marathon. Normalement l’ironman commence maintenant mais pour moi il a commencé au km3 de nage et 100 de vélo.

Je sais que pour moi le 1er km est déterminant je ne dois pas partir trop vite mais si je pars trop lentement je n’arriverais jamais à accélérer.

Je pars en 5’15/km et je compte osciller entre 5’15 et 5’30/km.

 

Les jambes vont bien et contrairement à l’Italie j’arrive à m’alimenter et à boire un peu.

Je vois Colin avant d’avoir le premier bracelet. Lui est déjà à son 3eme bracelet. Je calcule et me dis qu’il est sur un temps excellent mais il vient de ralentir à cause de sa chute.

 

Les kms passent vite, premier semi en 1h57. Je regarde ma montre, si je fais le 2nd semi en 2h03 (i.e. marathon on 4h) je ferais 12h au total. Cela me motive mais je comprends quand même que faire 4h au marathon sur ironman est un effort et un exploit énorme… arrivée au km23 je prends mon sac «special needs » ou j’ai mis mes gels pour la seconde partie. Je perds 5min pour trouver le sac…pas top mais pas le choix.

Arrivée au km25 il faut que j’aille aux toilettes. Je n’y suis pas allé depuis le début de course et cela est pressant. Je m’arrête mais le fait de m’arrêter toute la pression retombe sur le corps. Tout tourne pour moi et le corps croit comprendre que c’est la fin. Je sais qu’à la sortie je ne repartirais pas. Je sors et impossible de redémarrer. Je me force à marcher mais c’est difficile. Le corps ne veut plus. Je me revois 11mois plutôt en Italie à marcher. La différence étant qu’en Italie, je n’avais pas réellement atteint la limite. Je m’étais arrête un peu avant. Cette fois ci la limite a été franchie il y a tellement longtemps que de marcher est un calvaire. L’année dernière je marchais en 8’30/km alors que cette fois ci tenir en 10’-10’30 est déjà une lutte…

Je vis très très mal ces 4-5km de marche. Déjà de marcher est difficile, mais le corps n’en peut plus. J’essaie bien de boire du coca, prendre des gels mais le mal est fait et chaque minute passée à marcher et une minute de plus au-delà de mes limites. Je ne calcule plus le temps total je lutte déjà pour me dire que je vais finir.et je me cherche un moyen pour annuler mon inscription pour Francfort en 2019 J (pas de panique depuis cette pensée a disparu et 2019 sera l’année de francfort). J’arrive finalement à la zone ou je sais que je vais croiser ma femme, mon fils et la famille de Colin. Ma femme est venue à ma rencontre et m’encourage à courir. Je ne peux même pas répondre tellement je suis dans le dur.

J’arrive au km3o. je sens que mon corps repart un peu. Je n’attends pas trop et recours direct.

Km 37 J’ai tenu en courant et je suis revenu dans une zone ou je croise tout le monde. J’entends « c’est bientôt fini tu cours jusque la fin ». Je regarde ma montre et il reste 5km je sais que ça va être dur. Je tiens encore mais suis obligé de marcher encore pendant 1-2km. Me voilà 400m de la ligne d’arriver je redémarre et enfin le tapis est la et le speaker annonce « you are an ironman » en 12h37 (4h37 sur le marathon)…

L’arrivée est assez difficile. Je vois Colin et lui dis que si je m’allonge je m’endors !!! heureusement il est la car je suis toujours dans le dur et je sais qu’il connait ce que je ressens.

Très content quand même de la course même si je me serais bien passe de ces 4-5km difficile J.

 

Avant de finir, quelques conseils/apprentissages des choses qui ont fonctionné bien et moins bien pour moi (mes conseils de l’année dernière sont toujours valables) :

  1. J’ai gagné 40min en vélo grâce a 2 choses : bon entrainement cet hiver sur home trainer. Et l’année dernière j’avais passé 20km sur les prolongateurs contre 160km cette année.
  2. 40min de gagnées en cap grâce a un meilleur entrainement cet hiver.
  3. 5min de gagnées sur chaque transition : je vous laisse imaginer l’effort pour les gagner sur les 3 sports…
  4. Etre consistant sur les entrainements m’a permis ces années d’éviter les blessures.
  5. Travailler sur sa force mentale : il y aura forcément un moment dans la course ou la force mentale va agir et je pense que ça se travaille. J’ai passé tout mon dernier mois à travailler dessus…
  6. Encore 1 fois, repos et alimentation sont clefs.
  7. Je pense que de faire la course a plusieurs du même club est excellent. Surtout sur ces grandes distances. Le partage est excellent et l’entraide améliore l’expérience…et diminue le stress

 

Enfin merci à tous pour vos messages, a tous ceux qui sont venus avec moi lors de mes entrainements, aux messages personnels d’avant course (Flo, Loulou, Fred, Bruno), à Colin pour l’Ironman, à Bruno de m’avoir accompagné sur mes trails fous de début d’année, a tous ceux qui m’ont soutenu sur place et avant, à Renaud pour ses entrainements de CAP de cet hiver qui m’ont beaucoup apporté…etc